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 Yama no Ojou-sama || Terminée

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Ayanokoji no Buzen
Tsuchikage
Tsuchikage
Ayanokoji no Buzen


Féminin Messages : 16
Date d'inscription : 22/05/2013

Fiche ninja
Expérience:
Yama no Ojou-sama || Terminée Left_bar_bleue1000/1000Yama no Ojou-sama || Terminée Empty_bar_bleue  (1000/1000)
Affinité(s): Shoton- Doton
Nombre de missions: 0

Yama no Ojou-sama || Terminée Empty
MessageSujet: Yama no Ojou-sama || Terminée   Yama no Ojou-sama || Terminée I_icon_minitimeVen 24 Mai - 14:14



Ayanokoji (no) Buzen






24 ans
Actuellement chef de la garde rapprochée du Tsushikage. ANBU.
Précédement élite détachée a la désinformation.
Possède deux frères ainés et un frère cadet.
Ne semble pas avoir d'objectifs particuliers.
Shoton- Doton
Ninjustsu- Fuinjutsu. à une faculté effroyable à cacher son chakra à la perfection.
Particulièrement défaillante en Genjutsu.
Très douée pour l'infiltration.

It was a Beautiful day...

L E S S O I R S A U M A N O I R
Yama no Ojou-sama || Terminée 816353AyanokojinoHarukaYama no Ojou-sama || Terminée 880955AyanokojinoHanabusaetBuzenYama no Ojou-sama || Terminée 352750AyanokojinoSasame

D'un geste rageur, mais visiblement gracieux elle chassa la main de son frère aîné de sa joue, les lèvres pincées en une moue boudeuse. L'homme leva les yeux au ciel avant d'éclater de rire en l'entendant dire qu'il y avait des sujets avec lesquels on ne pouvait pas plaisanter dans cette famille. Le mariage entre autre et même s'il riait, il savait parfaitement qu'elle avait raison. Elle n'avait pas exactement le même sang que lui était sans doutes suffisant dans le clan pour qu'on décide de les marier. Oh oui, ils en auraient parfaitement été capable. Les deux plus puissant héritier du Shoton depuis deux générations et ils n'étaient que demi-frère et soeur. C'était bien assez. Bien assez. Alors naturellement elle avait bondit lorsque pour plaisanté il avait dit que si elle n'était pas mariée à la fin de l'année alors elle devrait l'épouser lui. Il se redressa pour se mettre droit et croisa ses mains dans son dos et regarder avec aplomb les gens dans le grand salon du manoir de style Azuchi-Momoyama : Son frère aîné : Ayanokoji no Haruka représentant de la seconde branche discutait avec leur mère Sayaka de son prénom. Ayanokoji no Ayame, de la seconde branche également , était présente et riait avec Ayanokoji no Ryuzaki-sama, leur père, dont elle était la cousine et l'amante. Elle était également la mère de sa soeur qui, elle, se tenait toujours à côté de lui-même. Un peu plus loin dans le jardin cette fois il pouvait apercevoir son plus jeune frère Ayanokoji no Sasame ; issu de la troisième branche avec sa mère Mai. De partout des oncles des tantes et des cousins, il était rare qu'autant de monde ne se réunisse au manoir principal. En vérité il les voyait très rarement, seule la toute jeune Princesse présente à côté de lui était une exception. Effectivement, appartenant à la même branche que lui-la première donc- malgré le fait qu'elle soit une enfant illégitime, elle vivait avec lui les trois quarts du temps. Lorsqu'aucun d'entre eux n'était en mission.

Il était de tradition que les trois branches de la famille ne se réunisse que lors de conseil familiaux organisés. Et les dieux savaient qu'on ne plaisantait pas avec les traditions dans cette famille. Certainement pas. Le grand regroupement de ce jour là n'échappait pas à la règle. Il avait été parfaitement organisé et calculé en l'honneur de l'anniversaire de la petite princesse du Clan : Ayanokoji no Buzen. Elle était l'espoir de la famille et il n'était pas seulement question de Shoton. Oh que non les choses n'étaient jamais aussi simples dans cette famille. Buzen était une jeune femme absolument merveilleuse. Magnifique aurait été le mot juste et , lui, Ayanokoji no Hanabusa, héritier de la branche principale, ne mâchait pas ses mots. Il ne la trouvait pas belle sous prétexte qu'elle était sa soeur et en vérité c'était sans doutes problématique. Il la trouvait superbe en tant que femme. Et en réalité il n'en allait pas de son seul jugement, tout le monde au village et dans le pays vantait la beauté de la jeune princesse. Sa beauté , sa dot, son talent : elle était promise à un mariage politique d'envergure. Le clan n'avait pas encore clairement décidé de la personne qui obtiendrait sa main, mais ils avaient autant d'intérêt à la marier à l'intérieur du clan qu'à l'extérieur de ce dernier. En ce sens, il avait beaucoup de peine pour sa soeur. Son adorable soeur. Enfant de l'amour, enfant douceur, petite princesse.

Pour comprendre la logique de la famille, il fallait remonter 500 ans en arrière lorsque le clan Ayanokoji déjà très riche avait contracté un mariage avec l'héritière de la branche principale des Tsubaki kirijins. C'était pour conserver ses intérêts, sa richesse, sa noblesse et toute sa grandeur que au commencement de la première grande guerre, le clan Ayanokoji avait déserté le pays de l'eau pour se mettre à l'abri dans les montagnes d'Iwa. Un traité politique fut établi entre le Tsuchikage et le seigneur de guerre Kirijin. Un contrat à l'amiable : l'apport d'une aide confortable militairement et économiquement parlant en échange d'une place permanente au conseil suprême du village et des terres gratuites. Le contexte aidant, le clan s'établit rapidement et prit racine sur un territoire de plus d'un hectare qui fut aménagé pour un manoir et ses dépendances : la création d'un quartier uniquement habité par la même grande et richissime famille. Ils introduisirent ainsi le Shoton sur le territoire Iwajin. Le clan se scindait jalousement en trois branches parallèles, dont la dernière avait pour unique fonction celle de donner naissance à des femmes qui seraient mariées avec les hommes des deux autres branches. Une féroce politique du secret, de la pureté du sang et de la conservation du gène fut instaurée par Ayanokoji no Buzen, le chef du clan qui porta la famille à son apogée (et don sa sœur tenait son prénom). Un homme violent et sans scrupules, mais au talent irréprochable. Une main d'acier dans un gant de plomb. Afin de ne pas avoir affaire à tout problème dû à la consanguinité, il était fréquent qu'un ou deux héritiers de la branche principale et tertiaire épousent une princesse Tsubaki appartenant à la branche restée à Kiri. Le don c'était donc transmit de génération en génération en même temps que croissait leur immense fortune. La très noble, très riche et très ancienne famille Ayanokoji n'avait pas changé d'un iota depuis l'époque ou il s'étaient installé à cet endroit même ou il se tenait.

En tant qu'héritier , Hanabusa siégeait lui-même au conseil suprême du village et sa voix n'était pas des moindres, bien au contraire. D'une intelligence rare qui donnait même sur le génie pur, il était un tacticien militaire redoutable et tout le monde avait intérêt à l'écouter. Cela étant dit il avait toujours été le premier à dire que Buzen serait bien plus intelligente que lui, quoique trop bien élevée pour le montrer.

- Hanabusa-sama ? Père vous appelle.

Une voix douce, colorée et un visage d'ange qui lui donnât des frissons. Elle avait une façon si particulière de prononcer son prénom sa petite soeur...Aucun des enfants de la famille ne s'adonnait aux familiarités et si sa soeur l'appelait « -sama » lui l'appelait tout le temps « princesse » ou plaçait forcément un « -san » derrière son prénom. Il n'y avait pas d'autres façons de faire. Et s'il ne mettait pas de formule derrière ce dernier cela n'empêchait pas qu'il ne l'avait jamais tutoyée de sa vie. Buzen était entrée quatres mois plus tôt au service du kage après être entrée dans l'ANBU à l'age de quinze ans et fait carrière dans le contre-espionnage et les assassinas discrets. Il n'avait pas souvenir de l'avoir vu rater plus de deux missions dans toute sa carrière. Comme tous les enfants du clan elle n'avait jamais été à l'académie et avait bénéficié de l'instruction des meilleurs du clan dont le sien. Et elle s'était révélé être une véritable perle. Il s'inclina légèrement et se recula d'un pas dans l'idée de se retirer pour discuter avec son père.

– Vous ne le laisserez pas faire n'est-ce pas ? Frère aîné ? Promettez ! Promettez que vous ne le laisserez pas choisir pour...
– Ne me suppliez pas, vous savez pertinemment que je ne peux rien faire contre cela.. Je ne vais pas vous promettre quoique ce soit. Ne soyez pas une mauvaise fille, Hime-sama. Je vous le déconseille.
– C'est horrible. horrible !
– Peut-être bien oui, mais quoique ce puisse être ni moi, ni vous ni personne ici ne peut déroger à la règle.

L A P R I N C E S S E D E L' E S T
Yama no Ojou-sama || Terminée 221952Chapitre1buzenYama no Ojou-sama || Terminée 6732452chapitre1BuzenYama no Ojou-sama || Terminée 9912943chapitre1buzen

- Prenez-la dans vos bras frère!
Haruka jeta un regard dédaigneux sur son frère. Age de dix ans, son cadet venait d'être choisis pour être l' héritier de la famille, mais il n'avais pas perdu cette habitude qu'il avait toujours eût de sacraliser son aîné. Dans les yeux d'Hanabusa, Haruka avait toujours raison quoiqu'il dise ou fasse. Ça avait été particulièrement dur pour lui d'être séparé de son frère. Ils avaient grandiensemble, mais désormais que le plus vieux des deux avait intégré la seconde branche ils n'avaient plus le droit de se voir sans autorisation. La naissance de la petite princesse du clan avait été l'une de ces rares occasion ou Haruka était autorisé à regarder son frère d'égal à égal. Bien qu'ils continuent à vivre sous le même toit les choses étaient arrangées pour qu'ils n'échangent pas. Le moins possible en tout cas. Ce sept décembre Ayanokoji no Buzen - dont Hanabusa avait choisis le nom lui-même- fêtait ses quatre ans. La petite au sol, les bras tendus vers son premier frère aîné pleurait toutes les larmes de son corps devant le rejet évident que lui témoignait le garçon.

Elle refusait que l'héritier ne la touche, sa mère n'arrivait pas à la consoler et madame Ayanokoji no Sayaka, la maîtresse des lieux en tant que seule épouse légitime du chef de clan commençait à s'impatienter, insultant sans la moindre civilité sa cousine dont le seul soucis était ce que pouvait bien avoir son bébé. Ayame était une femme très douce et dont la noblesse se traduisait jusque dans sa façon si tendre de regarder les gens. Sayaka n'avait d'affection que pour son premier fils et encore elle témoignait cette dernière par une rigueur froide et dépouillée de tout. Sa cousine , plus jeune était d'une tendresse saisissante et elle avait passé toute sa vie à consoler ses fils. Elle les avait aimés comme ses propres enfant en dépit du fait qu'elle n'avait que dix années d'écarts avec Haruka. C'était sans doutes pour cette raison que ce dernier la regardait avec autant de douceur. Hanabusa lui, n'avais jamais bénéficié du moindre regard de la part de sa mère et s'était toujours réfugié dans les bras de sa cousine pour pleurer et elle lui avait appris. À être fort, à lire à écrire..Elle en avait fait un homme au raffinement certain et à l'élocution superbe. En même temps que lui déclarait un dont pour le Shoton que ne possédait pas son aîné. En attendant Haruka croisât les bras sur sa poitrine.

- Pourquoi je devrais faire une chose pareille?
Parce qu'elle est la princesse. Parce qu'il passerait sa vie entière à la servir alors qu'elle était sa soeur cadette. Parce qu'elle était un enfant de l'amour, parce que grâce à cette unique qualité elle serait éternellement la première dans le coeur de Ryuzaki. garce!. elle pleurait encore. De plus en plus fort.
- Mais enfin...vous voyez bien qu'elle ne demande que vous...
Mépris.
- J'ai des choses autrement plus importantes dont me soucier, que les pleurs d'une petite fille capricieuse !
Il avait tourné les talons et était parti d'un bon pas laissant la petite en larmes derrière lui. Ce n'était pas la dernière fois que le premier fils témoignerait cette franche froideur envers sa seule et unique soeur. La Princesse de l'Est en référence à l'aile du manoir où elle avait vu le jour.

D'une certaine manière cette indifférence chronique que lui témoignait le plus vieux poussait la petite Buzen à l'aimer encore plus. Il était le premier frère et elle l'idolâtrait au moins autant que le faisait Hanabusa.


La première fois qu'il la prit dans ses bras, elle avait cinq ans. Elle avait été enlevée par un mendiant qui avait voulu l'échanger contre de l'argent. Elle avait disparu alors qu'elle était sous la surveillance de Sayaka. Pour la première fois de sa vie il s'était rendu compte de tout l'amour que cette petite chose avait pour lui et du fait qu'elle n'était pas coupable des coutumes de la famille et que -sans doutes même- elle en sera la plus grande victime. Ce jour là il avait cru devenir complètement fou. Il n'avait eu que treize ans à cette époque là, mais il avait prouvé qu'il avait bien assez de talent pour être fils de la branche principale. Shoton ou non. Parce que ce n'était pas les soldats de son père, ni même son père ou Hanabusa qui avaient retrouvé la petite. C'était lui et lui seul. Et il aurait pu tuer ce civil s'il n'avait pas été aussi terriblement choqué par la vision de sa petite princesse prostrée dans un coin. « Onii-sama ! Oni-samaaaa ! » elle l'appelait à l'aide de tout son coeur , de toutes ses forces. Ce jour là il l'avait serrée dans ses bras à l'en étouffer. Il avait juré. Juré sur ce qu'il avait de plus sacré qu'il la protégerait, qu'il lui apprendrait à être la meilleure qu'il...il ne laisserait jamais plus quelqu'un lever la main sur elle. Pendant des mois et des mois elle avait fait des cauchemars après cela. Alors la nuit elle se levait en pleurant et elle s'introduisait dans sa chambre. Sa chambre à lui, pas celle d'Hanabusa. Et elle pleurait dans ses bras, il la berçait jusqu'à ce qu'elle s'endorme et dormait avec elle. Toujours avec elle. Le reste du temps c'était Hanabusa qu'elle préférait. Ils prirent son éducation en main tous les deux. Parce que Ayame si douce soit-elle était absolument incapable d'élever un enfant. Lecture, écriture, calcul, danse musique, Ninjutsu, Taijutsu...tout. Tout ce qui ferait d'elle non seulement une princesse parfaite mais aussi un Ninja irréprochable et la petite apprenait bien trop vite pour son propre bien. Haruka et Hanabusa étaient l'équilibre. Haruka se montrait dur et intransigeant, Hanabusa lui apportait la douceur et la réflexion. Buzen serai parfaite. Elle le devait, oh ça oui et pour s'en assurer ils la façonneraient de leurs propres mains.

L A D E E S S E A U X D O I G T S D E C R I S T A L
Yama no Ojou-sama || Terminée 356589chapitre2buzenYama no Ojou-sama || Terminée 5766071chapitredeuxBuzen

Un pas en arrière. Elle recula vivement face ce qu'elle venait de faire. À la fois effrayée et émerveillée. Elle n'avait jamais voulu ça. Panique dans ses yeux d'automne. Tout, tout, mais pas ça. Pas la branche principale, pas la cage à oiseau. Son visage s'inonda de larmes. Dissimuler ce qu'elle avait fait, ne rien dire à personne. Des bruits de pas sur le ponton. Mouvement de recul, elle qui tombe. Son petit corps traversé de spasmes. Peur. Peur. Peur. Peur. Et puis...la grande ombre d'Haruka. L'horreur sur son visage lorsqu'il comprend ce qu'il vient de se passer. Les larmes sur son visage d'enfant.

Haruka venait de fêter ses vingt-et-un ans et il n'avait que trop bien vu ce qu'ils avaient fait à son petit frère après qu'il ai déclaré le Shoton à huit ans. Il ne permettrait jamais qu'on ne fasse la même chose à la petite princesse de son clan, de son coeur. Il dissimula lui-même la preuve. Ce fut l'une de ces rares fois où il se montra tendre avec elle. Il allait l'aider. Elle comprit, mais ne parvenait pas à sécher ses larmes qui coulaient encore et encore. il la gifla : maintenant elle avait une bonne excuse pour pleurer. Et Buzen s'accrochait à lui comme si sa vie en dépendait. Et la vérité n'était pas si loin. Il l'enlaça, la faisant disparaître sous les voilures de son habit. « je ne veux pas. Haruka-sama je vous en supplie ne dites rien. Pitié, pitié je ne veux pas. Je serai toujours sage, je ne pleurerais plus jamais...mais pitié ne dites rien à Père. » Je ne dirais rien. Tout ira bien je vous promets, ne pleurez plus , ne pleurez plus. Et personne ne sut. Oh non : Haruka teint sa promesse. Il garda secret le don de sa soeur aux yeux de tout le monde et même Hanabusa n'en sut rien cette année là. Haruka s'occupait de plus en plus d'elle concernant l'apprentissage du Ninjutsu occultant volontairement l'hérédité qu'elle avait reçue de ses ancêtres. Il lui enseigna le Fuinjutsu parce que c'était l'une de ses spécialités à lui, la perfectionna en dôton et c'était la tout ce qu'il pouvait faire.

Ça, et prier pour qu'elle, que son corps oublie la manière dont le cristal avait jaillis de son chakra. Prier pour ce que cela ne se reproduise plus. Qu'elle ne soit pas condamnée à la branche principale, qu'elle soit autre chose qu'un oiseau enfermé dans une cage, autre chose que quelque chose que l'on pourrait monnayer pour avoir plus renommée. Elle serait en sécurité avec dans la branche parallèle. Il ne laisserait pas leurs parents la marier avec l'un de ses cousins : avec son demi-frère. En attendant,sa mère, Sayaka, regardait d'un très mauvais oeil le fait que son fils favorise rapproche de la précieuse princesse de la famille et délaissait complètement son second fils bien trop occupé avec son travail d'Anbu, son rôle au conseil de famille et les cours qu'il dispensait à sa petite soeur. Maï qui avait eu un fils cinq ans plus tôt le gardait jalousement de tout contact avec ses frères et sa soeur plus encore, bien que Buzen ne désirait d'autre que le plaisir de jouer avec son petit frère. Inadmissible bien sur.

Dans le courant de cette année Haruka soupçonnât son frère cadet d'avoir des doutes sur les capacités de leur soeur. Alors il renforça son emprise sur cette dernière pour l'éloigner de la petite. Il n'était pas question qu'il lui fasse endurer ce que lui avait enduré. Même s'ils avaient fait leur maximum pour l'endurcir:Buzen n'était absolument pas prête pour recevoir une telle pression sur les épaules. Le jour où il eu la conviction que tout allait déraper : il s'en souvenait parfaitement bien, c'était un jeudi et il pleuvait. Cela devait peut-être bien faire des semaines qu'il n'avait pas vu l'héritier et ils s'étaient croisés au retour de sa mission. Hanabusa avait beaucoup changé ces dernières années. Il avait beaucoup grandi et il était immanquablement devenu très beau. Bien plus que lui ne l'avais jamais été. Néanmoins, ce n'était pas ce qu'il avait préoccupé Haruka. Le plus jeune avait planté ses yeux bleus dans les siens et croisé les bras sur son torse.

– Vous n'allez pas pouvoir éternellement lutter contre sa nature, frère. Que vous le vouliez ou non, qu'elle le veuille ou non elle possède le don et vas quitter vos bras. Personne n'y peut rien.

Et Haruka avait cru devenir fou de rage encore une fois. Ou était passé son petit frère si doux et gais ? Ce petit garçon qui n'hésitait pas à faire des bêtises pour faire rager la famille ? Quand était-il devenu cet héritier pragmatique qui oubliait les intérêts de leur précieuse...leur plus précieux trésor. La seule qui ne devrait jamais être corrompue par les agissements de ce clan malsain d'entre les malsains.

- Je me fiche de ce que tu peux penser Hanabusa. Tu n'as pas vu dans quel état elle était ni combien elle à peur. Si tu veux vraiment la détruire alors dénonce la à père. Mais sois sur de ô combien je te méprise. La vérité, Hanabusa, la vérité c'est que tu es jaloux et que c'est exactement pour ça, pour l'avoir avec toi que tu vas me l'arracher.

il l'avait tutoyé. Avait oublié toute forme de respect dû à son frère en tant qu'héritier, en tant qu'homme. Mais, le pire c'était qu'il avait raison. Hanabusa le jalousait et quelques jours plus tard, après qu'elle ait eût dix ans, il révéla la supercherie au chef du clan. Sa petite héritière, sa petite favorite était douée et devait être séparée de son autre frère. Et ce fut fait. Haruka fut complètement interdit de toute visite à la petite. Ce jour-là, ce jour elle avait plus pleuré et plus souffert que toutes les autres fois réunies. Elle avait hurlé comme si on lui avait arraché le coeur.


- Haruka-samaaaa ! Haruka-samaaa... et les larmes, toutes ses larmes, sa colère, sa peur ses bras tendu vers ce frère qu'on lui enlève vous n'avez pas le droit ! Haruka-sama ! Restez ! Restez...je vous déteste père ...Haruka-sama...Et ses yeux accusateurs qui se posent sur la source de sa souffrance, Hanabusa Je vouais ! Je vous hais grand-frère ! Plus que tout ! Père ! Père je serais sage ! Laissez-moi avec Haruka -sama pitié pitié...père...

Du vent. Des supplication pour rien. Personne qui n'écoute. Haruka forcé de sortir abandonnant la petite fille à ceux qui, il le sais mieux que n'importe qui, la détruiront lentement. Il ne l'avait plus vue pendant des mois et des mois entiers et puis un matin il avait été enfin tenu informé de la situation. Buzen était tombée en mission, blessée mais, surtout on lui avait expliqué qu'elle n'avait plus prononcé le moindre mot depuis qu'ils avaient été séparés. Sa blessure était due à une inattention croissante et un abandon de sa joie et de son désir de vivre. Il avait fallu qu'elle en arrive là pour qu'ils le fassent revenir près d'elle. Elle n'avait supporté comme il avait prévu. Comment aurait-elle pu ? Elle avait été si heureuse de le voir qu'elle en avait pleuré. Pleuré encore une fois. Elle voulait partir avec lui, pourquoi il ne l'emmenait pas ? Frère aîné, frère aîné pitié, pitié. Mais il était trop tard désormais. Beaucoup trop tard. Il ne pouvait plus rien faire pour la sauver de cette cage où on l'avait enfermée : parce qu'on lui avait brisé les lèvres pour qu'elle ne fuit plus jamais.

- Sois une bonne petite. Sois une bonne petite. Ne pleures plus, tu ne dois plus. Écoutes Hanabusa, c'est dangereux si tu ne le fais pas, tu pourrais te blesser. Sois sage. Une bonne princesse d'accord ? Ne désobéis pas à ton père il ne faut pas.
- Vous allez rester n'est-ce pas frère aîné ? Haruka-sama restez s'il vous plait...je ferais tout ce que vous demanderez mais restez...
- Non je ne vais pas rester. Je ne peux pas, tu es grande, soit forte, soit courageuse. Promet. Promet que tu ne feras plus ça...promet que tu vas faire attention. Ne pleures plus souris. Pardon, pardon. Non je ne vais pas rester.

les larmes encore elle s'accroche elle ne veux plus le lacher. Il ne partira pas elle ne veux pas. Second frère aîné lui fait peur. Restez. Restez je serais sage alors...vous devez rester.

- Vous allez revenir ? Jurez ! Jurez que vous reviendrez

Le mensonge. « oui. Seulement si vous tenez vos promesses »
Non je ne vais pas revenir, non ce n'est pas possible mais soyez sage. Un mensonge pour l'apaiser, pour la pousser à aller mieux pour qu'elle soit sage. Parce qu'elle n'avait plus choix désormais. Elle ferme les yeux. Le baiser sur son front « Je resterais le jour où tu seras la meilleure. Deviens plus forte qu'Hanabusa et je te jure que je resterai toujours avec toi. »

L A M O R T D A N S L'A M E
Yama no Ojou-sama || Terminée 1377792chapitre3BuzenYama no Ojou-sama || Terminée 3027911chapitretroisBuzenYama no Ojou-sama || Terminée 8778693chapitre3buzen

- Princesse ! Vous n'avez pas le droit de...
D'un geste de brusque elle repoussa l'homme qui se cognat contre le mur du couloir. Et traversa l'aile ouest du manoir sans s'arrêter. Elle n'avait jamais été hautaine, mais ses yeux auraient dissuadé n'importe qui de se mettre sur son chemin. Son oncle tenta de se mettre sur sa route pour la stopper dans son périple et elle se figeât. Lui aussi. Il ne l'avait jamais vu comme ça. Son visage était ravagé par la colère et la haine la plus farouche.
- Le chef ne veut pas vous recevoir!
Erreur. Elle pointa l'endroit d'où elle venait avec une colère qui coulait par tous les pores de sa peau. Elle respirait difficilement et aurais dit qu'elle allait tout détruire sur son passage. Et elle n'en était pas incapable du tout. L'homme reconsidéra sa position mais réalisa que quoi qu'il fasse la situation tournerais mal pour lui, et il préférait faire face à la jeune princesse qu'à son vieux dragon de père.


- Mon petit frère hurle de douleur à l'autre bout de cette saloperie de manoir alors tu vas dégager le passage fissa avant que je ne te fasse bouger moi-même. Tu es la troisième branche tu n'as pas à t'opposer à moi. dégages
Jamais dans sa vie elle n'avait été aussi vulgaire dans ses mots et dans ses gestes. Elle n'était pas très grande, mais d'une prestance certaine et a vrais dire avant ce jour il n'avait jamais crus qu'un jour elle pourrait être violente. Il se doutait bien que lorsqu'elle effectuait les missions dans l'ANBU elle ne pouvait pas être aussi douce et distinguée qu'elle l'était au manoir et désormais il se demandait si elle ressemblait à cette furie en face de lui. Un fauve en chasse, un lion dans une cage. Elle détruirait tout sur son passage. Elle était rentrée dans les forces spéciales deux ans plus tôt, peu après son quinzième anniversaire et cette année là avait été nommée chef de l'escouade spécialisée dans la désinformation et le contre-espionnage. Plusieurs fois déjà elle avait été infiltrée avec succès dans les lignes ennemies. Elle avait développé le Shoton aussi haut qu'avait pus le faire Hanabusa lui-même, mais il demeurait évident qu'elle le manipulait avec plus facilité que son frère. Il y avait une telle fluidité dans sa façon de l'utiliser qu'elle avait fait craindre à Ryuzaki un reversement du pouvoir. Ils avaient donc plus que jamais essayé de l'éloigner du premier fils de la famille pour ne pas qu'il lui rentre dans la tête l'idée de la rébellion, mais la petite Princesse s'était toujours débrouillée pour être avec lui. Avec le temps elle avait fini par pardonner sa trahison à Hanabusa et ils s'entendaient particulièrement, ceci dit il semblait que rien au monde ne puisse égaler l'amour et l'admiration qu'elle avait pour le plus vieux de ses frères. Haruka était surclassé dans tous ses jugements.


Il tremblât lorsqu'elle fit un pas vers lui. Elle le vit et s'avança encore. Et puis le temps s'arrêta. Un cri. Un hurlement atroce qui n'avait plus rien d'humain tant il retranscrivait de douleur, avait traversé tous les murs du manoir. À s'en déchirer les cordes vocales. « - Sasame... » ses yeux s'écarquillèrent d'horreur et elle fit demi-tour en courant , disparaissant dans un nuage de soie parfumée. Elle avait couru aussi vite qu'elle avait pus pour entrer dans la chambre de son petit frère. Le médecin était là, au-dessus de son petit corps qui se tordait. Son coeur s'arrachât à sa poitrine lorsqu'il hurla une nouvelle fois, implorant de l'aide.
- Arrêtez ! Laissez le ! Je vais vous tuer laissez.... elle se mit à crier elle aussi et dans ses yeux remplis de larmes le soignant senti qu'elle serait capable de le tuer au prochain cri de son cadet. Elle n'avait qu'un seul petit frère. Un seul et unique. Elle ne permettrait pas. tout sauf l'Ablation du chakra. tout mais pas ça.
La porte s'ouvrit une nouvelle fois sur Haruka qui d'un coup d'oeil compris la situation. Il se jeta sur la petite princesse et tenta de la faire sortir, mais elle se débattait avec tant d'ardeur qu'il manqua de la lâcher. Elle grondait telle une bête, comme une possédée.

- Arrêtes ! On n'a pas le choix Buzen, il va mourir si on ne fait pas ça. Il ira mieux après.
- Vous mentez ! Vous mentez tous ! Il n'ira jamais mieux ! C'est de leur faute ! Sasame!
Elle se libéra de l'emprise de son frère pour ressortir telle une furie et se diriger vers les quartiers de son père, elle poussa son oncle cette fois et traversa le couloir poussant le Shojî tellement fort qu'elle le déboîta. D'un geste rageur elle reversa la table ou son père écrivait se retrouvant debout face à lui. Pleine de rage et de haine. S'il n'avait pas eu la pleine conscience du fait qu'elle était sa fille, Ryuzaki serais probablement tombé amoureux d'elle tant elle était belle à cet instant.
- Comment ? Comment pouvez-vous ? C'est de votre faute ! Entièrement de votre faute ! Vous l'avez poussé à se détruire lui-même ! Monstre que vous êtes. salaud !
Il se leva et la gifla. Ce fut la première et la dernière fois qu'il leva la main sur elle. Il put voir dans le fond de ses yeux quel mépris elle lui réservait. Elle avait définitivement coupé le lien sentimental entre eux. Elle. Elle qui avait toujours été sa favorite le haïssait désormais plus que n'importe qui d'autre. Il ne la récupérerait jamais.
Un dernier hurlement et le silence parfait dans le manoir. La folie dans les yeux de sa tendre et superbe enfant.
- S'il meure, je vous tue.

J A M A I S P O U R V O T R E F I E R T E E
Yama no Ojou-sama || Terminée 138814lastbuzenYama no Ojou-sama || Terminée 759876lastbuzen2Yama no Ojou-sama || Terminée 551511lastbuzen3

Elle jeta le contenu de son verre en direction du visage de son père qui évita le liquide de peu. Le sake s'écrasa sur le parquet dans un « ploc, ploc » rendu audible par le silence. D'année en années la malicieuse petite princesse du clan était devenu une reine sauvage et emportée. Une femme farouche et parfois violente quoique toujours distinguée. Envers le vieil homme tout particulièrement et il comprit rapidement que sa blague grivoise n'avais pas du tout détendu l'atmosphère. Il n'était plus le chef du clan depuis déjà cinq ans qu'il avait donné la succession à Hanabusa qui tentait tant bien que mal de calmer la jeune femme qui s'était levée avec la ferme intention d'étrangler leur géniteur une bonne fois pour toutes. Depuis qu'elle était sortie du bureau du nouveau Tsuchikage elle avait été harcelée de recommandations et de conseils quant à son nouveau poste. Ce n'était qu'un ancrage de plus dans la politique du village, pour eux. « La fierté de son papa ! » avait dit Ryuzaki. Et elle s'était levée lui jetant l'alcool au visage.

- Jamais ! Jamais vous m'entendez ? Je ne ferai rien pour votre saleté de fierté mal placée!

Elle était devenue le chef de la garde rapprochée du Kage en personne et à ce titre pesait bien plus que d'autres shinobis. Quand bien même. Tout son corps tremblait sous la rage et le second fils ne parvenait pas à la faire se calmer.

- Buzen, assieds-toi.

Ses yeux se posèrent sur Haruka qui paraissait plus calme que de raison et elle se mordit les lèvres avant de se rasseoir. Non, jamais. Jamais pour leur fierté. Elle ne voulait pas.


Will you be my Sweatheart ?

Yama no Ojou-sama || Terminée 849613Carabuzen

Elle était né une enfant adulée par ses frères et son père et avait d'abord été éduquée pour être une princesse. Pas un guerrier, mais une femme au raffinement certain et aux manières parfaites. Et c'était une chose qui se remarquait presque immédiatement quels que soient les vêtements qu'elle portait. Elle avait le port d'une reine et l'apparente douceur des gens bien élevés. Avant d'être une arme, Ayanokoji no Buzen était une femme au sourire ravissant et d'ailleurs elle souriait toujours. Ou peu s'en fallait. Elle souriait parce qu'elle était heureuse, parce que vous l'étiez, parce qu'il faisait beau, parce que vous lui aviez souri. elle souriait également lorsqu'elle était triste et que son coeur la faisait souffrir. Elle le faisait pour rassurer les gens. Parce qu'elle avait juré qu'elle ne pleurerait plus, elle l'avait promis à Haruka et elle s'y tenait. Jamais de larmes que quand elle était seule. La plupart des gens ne l'approchaient pas réellement de peur de ne pas être acceptés, les manières de sa famille étaient parfaitement connues, mais ils avaient torts. La jeune femme était bien plus ouverte que ses parents et elle avait le rire -magnifique d'ailleurs- facile.
Buzen aimait rire et d'ailleurs elle en s'en empêchait pas. Il était vrai néanmoins que les préceptes de son clan étaient profondément inscrit dans ses veines. L'honneur était l'une des valeurs auxquelles elle tenait le plus. C'était pour l'honneur qu'elle n'abandonnait jamais, quitte à revenir presque morte. L'accomplissement de la mission était la chose la plus importe au monde. Ne pas entacher le nom. Ni le sien , ni celui du village. Réussir l'échec était toujours inadmissible, le sacrifice aussi en réalité et elle était du genre à penser que le pire était toujours évitable. D'une intelligence rarissime elle était particulièrement douée pour l'anticipation et apprenait toujours de ses erreurs. En mission elle était exactement comme cela : pragmatique, calculatrice et entêtée. Très professionnelle. Jamais de choses inutiles , ni superflue : juste les ordres. Seulement ça et le reste du temps elle sortait du rôle. Parce que c'était exactement cela : un rôle. Lorsqu'elle retirait son masque elle arrêtait d'être une tueuse, une shinobi froide et sans émotions, calculatrice. Elle redevenait la femme et la princesse de clan.

On vous aurait dit qu'elle était parfaitement heureuse. Elle avait tout pour l'être, la richesse la beauté, la renommée et pour preuve elle souriait tout le temps. Pourtant il aurait suffit de s'approcher rien qu'un peu pour se rendre compte que la jeune femme n'était pas aussi heureuse que le colportaient les rumeurs locales. Aussi farouche et imprévisible qu'un chat elle était à la recherche de l'émancipation la plus totale, elle avait peur bien souvent mais le cachait par son caractère explosif ou des caprices parfois enfantins. C'était sa seule échappatoire. Promise à un mariage politique sinon à son propre frère, elle était plus enchaînée qu'un oiseau en cages mais parfaitement loyale aussi. Terrorisée petite princesse malicieuse aux ténèbres lumineuses. A la recherche d'un refuge, n'importe quoi, qui lui permettrait de n'être pas ce que les gens voulaient bien voir à son sujet. Bien sur elle était digne et fière, bien sur elle était capricieuse et sauvage. Mais oui elle était triste, oui elle avait peur, oui elle était douce et oui, plus que tout au monde elle haïssait ce dont qui faisait sa renommée.

Buzen aimait. Elle aimait facilement trop facilement, elle en souffrait beaucoup, mais elle s'en fichait. D'une naïveté enfantine sous son intelligence, elle était de ceux qui voulaient croire qu'il y avait du bien partout. Même dans le pire. Parce que les choses si douloureuses soient-elle étaient plus facile à accepter une fois qu'on en voyais le bien. Et si elle se trompait elle gardait sa douleur pour elle, tout irait mieux. Quand ? Elle ne le savait pas, mais ça allait arriver. Elle était une bonne fille, elle attendrait. Elle comblait le vide dans son âme en apprenant, car elle était d'une curiosité intellectuelle intarissable. Elle cachait sa timidité, malvenue pour une femme de son rang et de son métier, par sa superbe éloquence et ses manières de grande dame. C'était sa barrière. Et si elle était extrême dans sa façon d'aimer, une fois blessée, elle était extrême dans sa façon de haïr, de mépriser. Et elle avait le coeur sur la main la petite princesse, fallut-il qu'il soit constamment piétiné.


I'm sexy and I know it

Hanabusa eu la décence de ne pas demander pourquoi son frère aîné l'avais frappé. Il porta une main à sa lèvre ouverte et posa un regard profondément repentant sur le plus vieux. Un mot et il se serait jeté à ses pieds pour se faire pardonner de ce qu'il avait...
- Tu parles de ta propre soeur! tu...es immonde, pire que notre père. Haruka était le seul membre de la fratrie à se passer de formule de politesse pour s'adresser à ses frères et soeurs. Il n'était pas devenu le chef du clan, mais il n'en avait pas moins la prestance et si officiellement Hanabusa était le maître de la famille, tout le monde dans les trois branches avait bien plus de respect pour l'aîné. Tomoe, recula d'un pas pour laisser les deux princes à leur dispute.
- Je t'interdis de reposer tes prunelles indécentes sur elle ! si je te surprends encore à...je te les crève est-ce clair?
Hanabusa savait bien qu'il y avait un problème dans sa façon de regarder sa petite soeur, alors il hochât la tête positivement. Même sans Shoton : Haruka était bien plus fort que lui et s'il décidait de se battre avec lui, il ne gagnerait pas. Ceci dit, Buzen était gravée dans son oeil.

Yama no Ojou-sama || Terminée 340115physiqueBuzen1

Il y avait son visage de poupée, d'ange à la peau très pâle et aux traits fins. Dessinée légèrement par une main autrement plus divine que celle qui l'avait fait lui. Des lèvres pleines, trop roses et légèrement inégales : celle du dessous était légèrement plus charnue que sa jumelle et lorsqu'elles s'étirent en un sourire, il se sentait défaillir comme beaucoup d'autres hommes. Un peu plus haut son nez ne faisait pas d'ombre à sa bouche délicieuse, fin, petit, adorable et contribuait à lui donner un air encore légèrement enfantin lorsqu'elle faisait des caprices. Des pommettes peu prononcées mais légèrement rosées. Et puis il y avait ses yeux. Ses yeux en amande aux saveurs de l'automne, d'un marron changeant parfois caramel, parfois chocolat mais sombre, chaud et profonds : insondables. Des prunelles encore plus captivantes que n'importe quel autre regard, il exprimait tous ses sentiments et , lorsqu'elle lui mentait Haruka disait qu'il le voyait à la lueur dans ses yeux. Hanabusa aurais adoré pouvoir le faire lui aussi, mais les yeux de Buzen restaient un mystère pour lui. Ils étaient ourlés de cils longs et recourbés ombrageant son regard fabuleux.

Ses très longs cheveux chocolats aux millions de reflets caramel, roux et noir. Ses cheveux qu'elle ne coupait pas par tradition et qu'elle coiffait toujours avec goût. De façon pratique lorsqu'elle travaillait. Il avait toujours été surpris de leur finesse, de leur douceur : semblable à la soie dont était faite ses vêtements. Ses somptueux vêtements. Il y avait tellement d'harmonie et de douceur dans ses traits somptueux...elle méritait plus que toutes les femmes réunies. Haruka l'aurais crucifié pour cette pensée. Immanquablement il quittait son visage de déesse du soleil, façonné par Amaterasu en personne.

Yama no Ojou-sama || Terminée 749589Physiquebuzen2

Suivant la courbe gracile de son cou blanc il tombait sur tes épaules fines encadrant une poitrine de femme. Pas une enfant, une femme, une vraie. C'était lorsqu'il voyait la forme de ses seins et de ses haches qu'Hanabusa se rendait compte du fait qu'elle était réellement une adulte désormais. Il adorait voir la façon dont elle croisait ses bras sur sa poitrine. Elle avait des bras de femme. Fins, élégants terminé par de très belles mains aux doigts effilés. Ils dissimulaient parfaitement sa force de guerrière. Il adorait la voir danser aussi. Parce que tout son corps se mouvait avec une grâce divine qu'il n'avait pas l'occasion de voir ailleurs. Il se disait qu'elle devait être ainsi en mission : féline, rapide et souple. Elle avait une taille tellement étranglée que parfois il avait peur de la briser.
Elle était légère comme l'enfant qu'elle n'était plus mais il avait souvent vu Haruka la soulever à bout de bras. Elle était vraiment minuscule, même pour une jeune femme. Moins d'un mètre soixante, même si elle ne l'entendait pas et qu'elle jurait à tous les dieux qu'elle prendrait les deux centimètres manquant, foi de princesse. Il y avait ses jambes au galbe délicieux. Même s'il vivait avec elle, Hanabusa était le premier à se demander ou elle cachait ses muscles pourtant bien présents.

Yama no Ojou-sama || Terminée 940636physiqueBuzen3

- Tu me répugnes quand tu fais ça. Vraiment.
Il baissa les yeux face au mépris de son frère et la colère sourde qui montait en lui. Il avait honte lui aussi, parfois. Quand il n'était pas trop occuper à penser à elle.






La joueuse est disponible en pricipe 7 jours par semaines, elle s'adore et elle l'avoue.
elle est tombée ici par hazard et compte sans doutes y rester un moment.


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Dernière édition par Ayanokoji no Buzen le Dim 26 Mai - 0:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Yama no Ojou-sama || Terminée   Yama no Ojou-sama || Terminée I_icon_minitimeSam 25 Mai - 22:47

Ceci est un mignon double poste pour faire remonter ma fiiiche ~
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Shieru Zetsubô
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MessageSujet: Re: Yama no Ojou-sama || Terminée   Yama no Ojou-sama || Terminée I_icon_minitimeDim 26 Mai - 1:57

Excellente présentation ! Je te valide jeune pomme !
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MessageSujet: Re: Yama no Ojou-sama || Terminée   Yama no Ojou-sama || Terminée I_icon_minitimeDim 26 Mai - 11:01

Juste une chose, on a pas de garde rapprochée sur le forum, ni de chef de la garde rapprochée, je te met ANBU, si jamais tu dois faire partie de la garde rapprochée, c'est parce que le Tsuchikage te nommera dans le RP
sinon ta présentation est parfaite, bienvenue Smile
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MessageSujet: Re: Yama no Ojou-sama || Terminée   Yama no Ojou-sama || Terminée I_icon_minitime

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