Présentation de Mina Tanushi [en cours]

Age: 19
Comment avez vous trouver le forum: C'est Asu qui m'a dit de venir, je suis sa soeur ^^
Vos horaires sur le forum : Pendant les vacances, c'est okay, mais quand les cours vont reprendre la présence va baisser

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RP

Nom: Tanushi

Prénom: Mina

Age: 32 ans

Grade: Jônin - Chef des Marionnettistes

Affinité(s): Fûton et Doton

Capacité particulière: Combine à merveille le Genjutsu et Kugutsu : Genjutsu pour plonger sa cible dans une torpeur et le soumettre et Kugutsu pour tenir en laisse sa cible et guider plus facilement ses mouvements.

Description physique et mentale:

Une drôle de fille que les gens perçoivent, une fille plutôt louche en son genre. Qui aurait deviné qu'une fille comme moi ait accédé aux plus rang d'une organisation avec tant de cachet que la Guilde des Marionnettistes ? Personne ! Pas même mes parents qui voyaient en moi la parfaite bout-en-train de la classe.

Si je dois me décrire ? Et bien, je suis plutôt d'une petite taille, une silhouette assez filiforme qui a toujours la bougeotte. Si je dois me décrire je dirais que je suis une fille à l'allure plutôt pas commode dans ce village bourré de principes tels que l'honneur, quand je marche dans la rue je trouve toujours quelque chose pour m'amuser à la manière d'un chaton qui vient de découvrir les joies de la marche et ce malgré mes trente-deux printemps.

Oui j'aime marcher, me balader, donc l'apparence de mes jambes reste cohérente avec mes goûts, notamment en matière de musculation, en effet mes jambes sont longues et plutôt épaisse dans le sens où aucune graisse n'y a élu domicile que du muscle. Mes jambes sont sans-doute ce que j'aime le plus dans mon physique. Ces jambes ont obtenues une détente incroyable, à la manière d'un félin et extrêmement souple en effet, chose tout à fait inutile mais qui m'amuse énormément, je peux mettre mon pied sur ma tête, incroyable non ?

Cette souplesse extraordinaire de mon corps vient du yoga que je pratique tous les jours pour me détendre des lourdes journées de shinobi. Le haut de mon corps reste fin, un ventre plat, une peu douce et très bronzée et une poitrine proportionnelle à ma taille, mais bon ce n'est pas ce que je préfère en ma personne physique. Les bras ? Frêles en un mots. Même si ils ont tendances à gigoter souvent à cause du Kugutsu, ils n'en demeurent pas mois tout fins.

Passons maintenant à la partie que j'adore de mon corps : le visage. Oui j'aime bien mon visage, le regard que celui-ci dégage, un regard malicieux, des traits enfantins que le temps aurait épargné. Il est comme le reste du corps très bronzé, cela fait mieux ressortir mes yeux d'une couleur océane, mes yeux sont très bleus ce qui ne correspond pas au profil type d'un sunajin. Mes cheveux ont très mal réagis aux expériences, ils sont devenus subitement blonds après que j'ai ingéré un drôle de médicament, cette effet est irréversible, ma couleur naturelle était noire.

Cette allure plutôt féline que j'ai est due aux expériences qu'on fait les scientifiques du village quand j'étais incarcérée dans les bas-fonds du désert, quand ma guilde avait été jugée injustement. J'avais presque des moustaches de chat qui me poussait des côtés de la bouche mais celles-ci ont disparues parce que le traitement avait été arrêté à temps. Je hais ces généticiens fous qui se moquent de l'éthique.

Maintenant, je vais vous présenter ma personnalité. Celle-ci est restée intacte malgré les mauvais traitements que j'ai eu en prison. A ma naissance, on m'a qualifiée d'ores et déjà d'atypique. En effet, je suis une touche-à-tout et un curieuse de nature. Ma séjour carcéral m'a toutefois fermée aux relations sociale mais n'ont pas gâché ma tendance à l'optimisme et ma bonne humeur éternelle

En prison je connus des émotions que j'avais jamais éprouvé auparavant comme la peur de vivre un autre jour. Pour un autre jour, c'était une nouvelle forme de torture, un nouveau traitement pour créer des armes sans sentiments, pour explorer le cerveau humain afin de le conditionner et le soumettre. Pour une fois, je pus me mettre à la place de mes victimes qui jouaient le rôles de pantins à mon service. L'humanité n'est-elle pas comme-ça ? Un homme au dessus de tout le monde qui fait obéir une multitude de gens ?

Le sang ne me fait pas peur, je l'ai vu couler et je le reverrais à nouveau couler. Le sang de mes camarades ? Il ne me fait pas peur non plus, je l'ai vu que trop couler en prison, les exécutions avaient lui à même le sol froid de notre cellules. Des corps déchiquetés par des adversaires sadiques ? Je l'ai vu et je n'en ai plus peur. Voilà bien un changement de ma personnalité, avant ce séjour dans les entrailles de notre père le désert, j'étais téméraire, je ne savais pas juger le danger, et je ne craignais absolument pas les conséquences. J'avais une foi inébranlable en l'être humain.

Sinon, je suis une hyperactive, je ne peux pas rester en place, il faut toujours que je fasse quelque chose sinon, je fais vivre un cauchemar à mon entourage. Je suis également quelqu'un de très indiscret qui pose des questions qui ne se posent pas d'ordinaire et généralement ça froisse les gens que je ne connais pas.

Histoire du personnage:

Mon histoire commence un jour de février dans le domaine familial des Tanushi. Une famille humble qui vouait un culte presque immortel au démon à une queue prénommé Shukaku, depuis la nuit des temps ma famille gardait ce démon quand il n'était pas scellé.

J'ouvris les yeux dans la chambre parental dans les bras aimants de ma mère et sous les yeux fiers de mon père, les souvenirs de cette époque sont flous en même temps quel être humain se souviendrait de l'époque de sa première bouffé d'air, de la première image qu'il vit de ce monde imparfait ?

Je grandis, même trop vite aux yeux de ma mère qui ne savait pas gérer mon hyperactivité, d'après ce qu'elle me disait je ne tenais pas en place j'enchaînais bêtise sur bêtise, je parlais beaucoup de tout et n'importe quoi. Quant à mon père il avait tout simplement peur, parce que j'étais la fille héritière de cette maison et que mon comportement n'était pas cohérent avec mon futur rang. Quand on est voué à prendre les rennes d'une famille nous devons être irréprochables à la naissance, rentrer dans les codes et la normes ... malheureusement ce n'était pas mon cas. Je faisais de cette marginalité une force, ma différence une force.

Mais d'un côté je comprenais tout à fait le point de vue de mon père, un shinobi sait être discret et faire preuve de discernement. J'étais tout le contraire, j'étais du genre à dire tout ce qu'il me passait par la tête et à être très indiscrète tant physiquement que moralement.

Quand vint l'âge de six ans, mes parents m'inscrivirent à l'académie ninja du village des Sables où j'appris à maîtriser cette essence spirituelle qu'est le chakra et à tirer des projectiles. Vu mon hyperactivité, les cours était d'un ennui mortel et je faisais tout pour me faire remarquer, j'étais d'une exaspérante impertinence avec les professeurs qui eux se vengeaient à coup de très mauvaises notes. A l'école, je préférais me faire des amis.

Ayant le même âge que mon cousin Ryû, j'étais dans la même classe qui lui, je faisais tout pour attirer son attention mais rien n'y faisait, il faisait tout pour faire semblant qu'on était pas de la même famille et qu'on ne se connaissait pas. Je lui faisais tant honte que ça ?

J'obtins mon diplôme d'aspirant ninja de justesse avec l'aide de mon cousin qui m'avait entraîné au bunshin juste avant, bizarrement, il était une autre personne à la maison, il s'occupait de moi et m'apprenais les ficelles de l'école. Enfin, son domaine à lui c'était les matières artistiques, en effet, il trouvait tout ce qui touchait un ninjutsu très ennuyeux. Même, à l'école il avait ramené un petit oiseau tout mécanisé fait avec les couteau de cuisine de sa mère, bien sûr il se prit un gros sermon ce jour-là.

Ryû fut placé dans une équipe avec un jeune homme tout discret du clan Iruko et une fille aux cheveux rouges comme le sang, une fille du clan Rokkaku. C'est là que nos chemins professionnels se séparaient. Quant à moi, les dirigeants du village décidèrent de me mettre avec deux individus tout à fait lambda, des gens que je n'aimais pas beaucoup. Trop extravagants à mes yeux.

Notre chef d'équipe (ou senseï), ne passa pas quatre chemins et nous plongea direct dans les missions de bas rangs pour nous familiarisé avec le terrain. Je n'aimais pas du tout cet équipe, et de qui plus est cet homme qui nous servait de chef était le pire macho que Sunagakure ait vu, il me rabaissait sans cesse en disant la plupart du temps "retourne faire ta vaisselle !". Je me plaignais souvent vers mon père qui, lui avait un pouvoir de décision au sein du village et il me disait "fais avec". Personne ne voulait m'écouter.

Quand je recevais une convocation du macho pour l'entraînement, je n'y répondais pas et je ne m'y présentais jamais prétextant des entraînements au sein de ma famille. Pendant ce temps-là oui je m'entraînais, mais en compagnie de Ryû qui m'apprenait son art bien à lui : le Kugutsu. Nous avions pour rêve les deux, de rentrer, un jour, dans la célébrissime Guilde des Marionnettistes.

À vrai dire, nous délaissions notre clan pour nous donner à notre passion qu'était l'art de manipuler les pantins. Cette passion nous avait bien rapprochés, et même créer une certaine rivalité, nous mettions en compétition nos création souvent, c'était Ryû qui l'emportait car lui avait pris avantage d'un des dons du clan et l'avait combiné avec le Kugutsu, ce don était de voler la nature de chakra à un cadavre avant que celui-ci ne s'évapore et les enfermait ainsi dans ses pantins. Cette spécificité faisait de lui un marionnettiste complet qui pouvait attaquer à la fois de près comme de très loin.

Quant à moi, j'essayais tant bien que mal d'assumer mon rôle d'héritière et m'adonnais quelques fois aux enseignements de ma famille basés sur l'illusion. Rapidement, je conclus qu'on pouvait combiner, à la manière de Ryû ces deux arts et ainsi, je m'entraînais pour arriver au niveau de mon cousin.

Le vie professionnelle me rattrapait vite, le Kazekage de l'époque me forçait à accomplir les missions avec cette équipe qui m'irritait tant, me laissant aux supplices du senseï que je haïssais. Nous accomplîmes pleins de missions parfois suicide, le senseï nous laissait parfois aller au casse-pipe, mais nous nous débrouillions suffisamment bien pour nous sortir des situations les plus ardues. Quelques années plus tard vint l'examen des Chûnin, c'était pour moi la délivrance, c'était l'indépendance que je pouvais prendre vis-à-vis de cette équipe bien imparfaite.

Nous réussîmes tant bien que mal la première épreuve qui se déroulait dans les pics montagneux alentours de Kumogakure, la cohésion n'était pas notre fort surtout avec un membre comme moi qui méprisait ces deux idiots qui me servait d'équipiers. Cette épreuve était de l'orientation pure et simple qui teste notre aptitude à nous repérer dans un environnement monotone et d'y récupérer un objet. Cet objet était détenu par plusieurs équipes de Chûnin fraîchement nommés. C'était le moment pour tester ce qui sera mon atout au combat. En effet, je parvins à manipuler le Chûnin de telle sorte à ce qu'il me remette l'objet sans résistance et à l'étonnement de tous.

Les deux abrutis n'en revinrent pas, eux qui brillaient par leur inutilité. C'est ainsi que nous réussîmes à la première épreuve. La deuxième marquait la fin probable de mon pseudo-attachement à cette équipe, en effet, l'épreuve se faisait en solo et consistait à montrer sa force et sa ruse au travers de face-à-face. Le tirage au sort me donna un adversaire issu du village caché de Kusa qui maîtrisait le taïjutsu et quelque techniques de ninjutsu, je ne dirais pas que le combat été facile mais presque, mes aptitudes au Kugutsu humain me sauvèrent encore. En général le Genjutsu était la faiblesse de ceux qui combattaient au corps-à-corps, je le forçai alors de se blesser en fonçant dans les murs et je le finis en l'intoxiquant avec mes poisons maisons explosif.

Une d'examen attroce pour lui, mais je dois avouer que c'était plutôt amusant. Le tout sous les yeux plutôt ébahis de mon cousins qui passait l'examen en même temps que moi. Ensuite vint la troisième épreuve, celle-ci visait à montrer notre force aux yeux de tous, ainsi qu'à de grands dirigeants des pays voisins à celui de la Foudre, pour l'occasion, Le Kazekage et le Mizukage s'étaient déplacés.

Malheureusement, le tournoi prit la fin que je redoutais, je dus affronter mon cousin Ryû en face-à-face, et il était beaucoup plus fort que moi. Il avait déjà amassé trois nature de chakra dont une qui était opposée à la mienne. Il me battit à plate coutures, le tout avec une courtoisie frustrante, c'était la fin de l'aventure pour moi qui avait pris beaucoup d'assurance en constatant que je pouvais vaincre. Je ne savais pas comment il faisait pour avoir toujours une longueur d'avance sur moi.

Ryû fut nommé Chûnin car il termina dans les premiers de l'examen et signa la fin de son équipe. Étrangement, cette perspective le rendait triste, il s'était attaché à son équipe, chose totalement contraire pour mon cas. Toutefois mes aptitudes pour le moins atypiques ne laissèrent pas le Kazekage insensible et me nomma Chûnin après ma première mission de rang B sans mon équipe originelle. Suite à cette nomination, je me détachai définitivement de l'équipe n°IV.

Je poursuivis mon entraînement dans le Kugutsu et au Genjutsu, en effet, je constatais que mes illusions était très facilement parable et que la douleur était un facteur qui permettait à la victime de s'en libérer. Ainsi, j'apprivoisais de mieux en mieux cette aptitude, je décidais de me servir des malheureuses victimes de mon "Genkugutsu" pour les retourner contre leurs propres équipe en leurs évitant de subir la moindre douleur pour que la soumission reste intacte.

Je fis plein de missions à haut rang notamment une qui consistait à démanteler un réseau de criminels qui exerçaient leurs méfaits sur des civils sans défenses à travers les pays sans forces ninjas. A coup de missions de ce genre, je me fis une petite réputation et j’intéressai très vite la fameuse Guilde des Marionnettiste créée par le plus grand de cet art, le frère du Godaïme Kazekage, Kankurô. Il m'engagèrent dans leurs rangs et me firent subir un entraînement à cet art très rigoureux, dans ces rangs je pus remarquer mon cousin. Maintenant, je comprenais pourquoi il avait cette longueur d'avance sur moi.  

Je coupais mon temps en deux : l'entraînement au Genjutsu au sein de ma famille et l'entraînement au Kugutsu vers les membres de la Guilde des Marionnettistes. Cet mini-organisation disposais de pouvoirs particuliers au sein du village, ils pouvaient exclure leurs membres de la vie du village (à savoir missions, prise en charge d'équipes, vie politique ...) afin de les entraîner pour qu'ils soient opérationnels et c'est qu'ils firent pour mon cas et celui de mon cousin.

Pendant près de cinq années nous suivîmes cet entraînement intensif, nous apprîmes de nouveaux mécanismes d'attaque et de défense et de mieux les combiner pour être apte à opérer en équipe. Souvent, la guilde organisait des tournois pour tester ce que nous avions appris sur cet art, donc c'était assez fréquent que je me retrouve à combattre contre l'équipe de mon cousin. Les forces s’équilibraient petit-à-petit, je me retrouvais d'égal à égal avec Ryû.

Quand notre promotion fut prête, les examinateurs nous jugèrent sur une situation bien propre, car la guilde gérait ses membres de A à Z de leurs parcours de Chûnin à Jônin et ce n'était pas rare de trouver quelques uns de leurs membres parmi les rangs des forces spéciales du village. Nous devions sauver des civils d'une prise d'otage grâce à l'esprit d'équipe et aux compétences que nous avions développées et apprise. Ryû passa ce test haut la main, et moi j'eus un peu plus de mal, mais il s'avéra que ma combinaison spéciale pouvait être très utiles dans des moments pareil, en effet, j'ai obligé les faux-criminels à libérer les otages afin que l'équipe offensive puisse les défaire.

Ainsi, le vénérable chef issu de la famille du Godaïme Kazekage, recommanda quelques uns des miens au titre de ninja confirmé, j'en faisais parti ainsi que Ryû. Le Kazekage accéda à la requête du chef de la guilde et fit de nous des Jônin. Ainsi, les responsable de la guilde leva l'exclusion pour l'entraînement, nous pouvions servir la guilde ainsi que le village comme il le fallait. Avec l'âge j'avais appris à canaliser mes saut d'humeur et mon hyperactivité, je séparais d'un trait épais ma vie professionnelle et ma vie privée, quoiqu'il n'y en avait pas beaucoup.

C'était à cet âge là que mon chemin et celui de mon cousin se séparèrent, lui avait été affecté à la garde rapproché des conseillers et du Kage tandis que moi j'étais affectée à la formation des jeunes recrue. Nous nous voyions plus, nous nous croisons, un seul bonjour échangé par un certain manque de temps, lui avait souvent des affaires importantes et moi j'avais des jeunes à éduquer aux valeurs de la guilde. Nos rêves d'enfants s'étaient égarés en même temps que notre formation de marionnettiste était achevée.

La guilde était devenue ma seconde famille, j'y passais le plus clair de mon temps. Formant des jeunes Chûnin qui avaient des talents innés pour l'art des marionnettes, parfois je partais en mission avec les autres membres de la guilde déléguant mon rôle de formatrice et d'examinatrice. Bizarrement, le  chef avait confiance en mes pouvoirs et m'affectait à des missions plutôt importantes pour le village. N'oublions pas que la guilde est considérée comme un clan au regard de la Constitution des Sables et donc a une place de choix dans au Conseil. C'est ainsi que le vénérable chef se porta volontaire pour une mission à Amegakure no Sato emmenant avec lui les meilleurs marionnettistes de la guilde.

La mission consistait à sauver des Sunajins enlevés par des ninjas de la Pluie. L'événement le plus étrange c'était qu'il y avait des membres du Clan Ayami d'Iwa, un clan fermement opposé à la guilde, la tension était palpable, je me mis en retrait et je laissais le chef parlementer avec. En un grondement, les hostilités avaient été ouvertes, plus question d'une mission, s'était un véritable règlement de comptes ... le chef se battit avec ardeur et sortit son meilleur atout mais en vain, il se fit tué par un ninja du clan Ayami. Les victimes se comptaient par dizaines dans leurs rangs aussi bien que dans le nôtre, nous devions ramener les survivants au village au plus vite, la mission d'origine nous importait peu.

Certains membres moururent de leurs blessures, d'autres furent pris en chasse par les utilisateurs du Bakuton. Ce règlement de comptes allait prendre une tournure catastrophique je le savais. Quand nous fûmes rentrés au village, nous déposâmes les survivants et les cadavres à l'hôpital afin qu'ils puissent être soignés et pour ceux qui ont eu moins de chances voir leurs corps détruits. Quelques temps après, sous l'ordre du Kazekage et du Conseil, la Guilde fut dissoute et ses membres envoyés en prison par la Cour Martiale. J'en fis partie. Je croupissais en prison avec mes frère d'armes je côtoyais les pires criminels de Sunagakure. Dans les sous-sols du village, il y avait toutes sortes de criminels, des anciens déserteurs, des traîtres, des petits voleurs ...

Pourquoi nous avions eu un tel sort ? Parce que le Conseil a jugé que nous étions l'auteur de cet acte de guerre envers Iwagakure et qu'on pourrait déclencher une guerre. La vérité n'est toujours pas facile à discerner et je ne pouvais pas la leurs dire vu que je n'étais pas témoins des propos du chef de l'ex-guilde des marionnettistes.

Aucune information ne nous parvenait, les gardiens de prisons avaient pour ordres de pas parler en présence des prisonniers. Les traitements qu'on nous réservait était atroces, certains de mes compagnons ont finis comme cobayes pour des expériences loufoques en prévision de la guerre qui nous attendait, d'autres finissaient torturé dans les entrailles du désert pour révéler la vérité sur l'affaire Ayami, et je fus de ceux qui furent torturés. C'est alors qu'une certaine haine pour se village se créa dans mon cœur, comment pouvaient-on traiter des êtres humains de la sortes. La Cour Martiale et le Conseil étaient corrompus jusqu'à la moelle, je le savais.

Un beau jour, si je puis dire, nous apprîmes que le Kazekage avait passé l'arme à gauche, il se fit assassiné dans son sommeil par des personnes encore inconnues à ce jour. Une nouvelle personne fut nommée à la tête du village. Et cette personne demanda à me voir.

Quand je montai dans le luxueux palais du Kazekage, et que j'ouvris les portes du fameux bureaux, je vis une personne que je connaissais. En effet, le nouveau Kazekage était personne d'autre que l'ex-coéquipière de mon cousin Ryû, et je le vis aux côtés de celle-ci accompagné d'un type assez loufoque renfermé sur lui-même. Sur les conseil de mon cousin, la Kazekage réhabilita la Guilde des Marionnettistes et reforma cet organe emblématique du village. Mais il fallait trouver un chef à cette nouvelle guilde et vu que les meilleurs utilisateurs de pantins sont tombés sous les tortures ou les expérimentations douteuses, elle ne vit que moi pour ce poste. Peut-être que cette femme rattrapera toutes les erreurs qu'a fait ses trouillards de conseillers et ce trouillard de Kazekage.

Ce fut chose faite, vu qu'elle condamna la Cour Martiale et le Conseil à une peine indéfinie de prison pour corruption et jugement prématuré. En effet, selon la Constitution, le Kazekage a le tout dernier pourvoir en matière de justice et de lois si les conseillers et les magistrats sont soupçonnés corrompus. Quoi qu'il en soit, je serais la femme qui mettra toute la lumière sur cette histoire.

But:Mettre toute la vérité sur l'affaire du clan Ayami

Points forts: Genjutsu, Kugutsu

Points faibles:Taïjutsu, Fûinjutsu